« On prétendait avec aplomb qu’à Honk Hong la force primait désormais sur le droit et que les policiers étaient devenus les chiens de garde du pouvoir. »
Lire un thriller retraçant pour les besoins d’une affaire complexe les cinquantes dernières années de Honk Hong, voilà une idée intéressante.
Malheureusement je n’ai pu ou su me plonger dans le roman. Les situations complexes et les personnages aux noms multiples m’ont perdu.
Je le regrette encore en lisant la quatrième de couverture et je ne serai pas étonné qu’un autre lecteur puisse se passionner pour ce roman chinois.
Titre original : 13,67 chez Crown, 2014. Traduit du chinois pas Alexis Brossolet.
Denoël, sueurs froides, 2016, 664 pages, 22€50
Lectori salutem, Patrick