« Elle se souvenait. Elle savait. Elle était une dragonne, souveraine des Trois Règnes, reine de la Terre, du ciel et de l’eau. Kelsingra, avec ses puits de doux argent, se trouvait de l’autre coté de la rivière ; un dragon digne de ce nom n’aurait qu’à ouvrir les ailes pour s’y transporter. »
La décrue s’amorce. L’on se récupère et se rabiboche. Proximité oblige les secrets d’alcôve se dévoilent. Tous remontent le fleuve en direction de ce souvenir incertain, vers cet endroit rêvé, Kelsingra.
Des vestiges d’une ancienne civilisation se mettent à la disposition des dragons, comme s’ils étaient attendus. Les gardiens changent, écailles sur la peau, griffes, yeux, sens. Les Dragons deviennent chaque jour plus forts et plus beaux… Soudain l’un d’entre eux à force d’efforts vole. Leurs ailes étaient atrophiées, ils étaient débiles…Que pourrait changer au monde actuel l’arrivée de plus de dix puissants dragons là où tous les édiles ne voyaient que des débiles.
Quel est le rôle des humains auprès des Maîtres des Trois Royaumes ? Qui sont les Anciens ?
Cette partie est intense. Il se passe quelque chose à chaque coin de page.
Allez c’est décidé. Nous achetons les 4 derniers de la série. A bientôt…
Traduit de l’anglais comme d’habitude par Arnaud Mousnier-Lompré,
Pygmalion, 2011, 355 pages, 21€ ou j’ai lu, 2012, 7,50€
Lectori salutem, Patrick