Comment un dragon pouvait-il avoir une dette envers un humain ? Autant avoir une dette envers un pigeon ou un bout de viande.
Après un quatrième tome enlevé, ce numéro cinq est lent à démarrer tant l’auteur s’attache à rappeler longuement les situations décrites précédemment. Ne boudons pas notre plaisir. L’entrée en scène des Anciens, enfin ceux qui furent fait Anciens par Tintaglia, la découverte de Kelsingra par Alise relayée par Kanaï et Thymara et enfin le Duc de Chalcède qui n’hésitât pas à tenter de faire tuer la belle Tintaglia et son grincheux compagnon, Glasfeu suffisent à faire avancer la trame.
Sautons au Livre VI et rappelons que Livre V et VI ne forme qu’un seul volume original. Gageons que le rythme du VI en sera plus enlevé.
Vos adolescents attardés ou non continueront à prendre plaisir à suivre les personnages attachants de cette excellente série.
Traduit de l’anglais comme d’habitude par Arnaud Mousnier-Lompré,
j’ai lu, 2013, 250 pages, 7,50€
Lectori salutem, Pikkendorff