Marquis de Sade – La nouvelle Justine, ou Les malheurs de la vertu

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« Ne nous inquiétons donc nullement de mettre quelque chose à la place des chimères, et n’admettons jamais comme cause de ce que nous ne comprenons pas quelque chose que nous comprenons encore moins. »

Donatien Alphonse François de Sade, 1797, in La nouvelle Justine, ou Les malheurs de la vertu ; suivie de L’histoire de Juliette, sa sœur, T5

Lectori salutem, Pikkendorff

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