Papacito – Carnets de guerre

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« L’obèse indolent, le fragile, le lâche, le tricheur, le fumeur de joint amorphe, tous ces fils de pute peuvent se donner rendez-vous une après-midi pour aller jeter une cacahuète à un singe plus malin qu’eux ou jeter une tranche de jambon à un tigre du Bengale qui a perdu soixante-dix huit kilos parce qu’il vit en captivité pour le plaisir des chômeurs de longue durée qui ont des tarifs préférentiels pour aller le regarder crever. Enculé, va !»

Une gifle ou un cri, un souffle sûrement. Ce souffle d’une violence libératrice pour les hommes libres ne trouvera que des ennemis irréductibles parmi les castrés de la modernité.

Transformez vous, trouvez-vous, révélez vous! Et régnez! Ne vivez pas: régnez!

Ce journal satirique est-il à prendre au premier et au deuxième degré, la question restera sans réponse après que ayez ouvert la porte au wisigoth qui encore en vous, enfin peut-être.

L’auteur, un toulousain, fils d’une famille qui traversa les Pyrénées, éduqué dans le quartier du Mirail, fit mille boulots avant de trouver sa voix, une voie d’homme qui mesure sa liberté à son nombre d’ennemis.

Un vif merci à mon gendre et fils de cœur pour cette idée de lecture.

Ring, 2018, 280 pages pour un léger 18€

Lectori salutem, Pikkendorff

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