Novissima verba, derniers entretiens de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, mai à septembre 1897

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« J’ai souvent remarqué que cela rendait bon et indulgent pour les autres d’avoir de la peine, parce que la souffrance rapproche du bon Dieu. » (6 juillet, page 48)
Une petite joie ce matin à l’ouverture du courrier lorsque ouvrant l’enveloppe apparu l’édition originale de 1926 des derniers entretiens entre Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus (1873 – 1997) et la Révérende Mère Agnès de Jésus entre le 1ermai et son décès le 30 septembre 1897.

– Pourquoi donc êtes-vous si gaie aujourd’hui ?
– Parce que j’ai eu deux petites peines, oh ! très sensibles…Rien ne me donne de petites joies comme les petites peines. (19 mai, page 11)

Ce petit livre fut sur le chevet de Georges Bernanos né en 1888 année de l’entrée au Carmel de Sainte Thérèse. Il y puisa dit-on l’inspiration que « tout est grâce. »

Sébastien Lapaque n’écrit-il pas dans la Revue des deux mondes (3839 juillet-août 2023) que « Thérèse de l’Enfant Jésus, partout présente dans l’œuvre de Bernanos, n’y apparaît pas directement. Elle s’y cache et s’y révèle par échos et reflets,.. »

Émotion plus grande encore puisque Sœur Hélène de la Croix eut l’usage offrant au lecteur de 2023 un peu de sa foi et de ses prières par-delà les ans.

Un livre de chevet pour cheminer.

Xto Jesu, Patrick

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